Quelles sont ces peurs qui t’empêchent de changer ?

Quelles sont ces peurs qui t’empêchent de changer ! Je t’invite à les déceler ! Pourquoi ? Parce que les identifier c’est la première étape pour les désamorcer. Envie d’en savoir plus ? Je t’en parle dans cette vidéo !

JE T’EN PARLE DANS CETTE VIDEO (si tu préfères la visionner sur Youtube, c’est par ici)

SI TU PRÉFÈRES LIRE, c’est par ici.

Face à un changement se cache souvent une peur !

Tu sais qu’un changement est nécessaire dans ta vie d’humanitaire ou d’expatrié, mais tu te sens bloqué ! Tu n’arrives pas l’amorcer ! !

Tu n’arrives pas mettre en place ce dont tu as besoin, que ce soit pour une grande transition de vie (professionnel, familial) ou pour de petits changements dans ton quotidien (nouvelles habitudes, prendre soin de soi).

Je rencontre souvent ce cas de figure où les personnes que j’accompagne sont convaincues que la situation actuelle ne leur convient plus, et qui pourtant n’arrivent pas concrètement entrer en action pour la changer !

C’est déroutant, je te l’accorde, mais il bon de savoir que quand on se sent incapable d’amorcer un changement, il ne s’agit généralement pas d’un manque de volonté ou de motivation ! Non, bien au contraire !

Ce qui se cache derrière ce blocage est probablement tout autre chose : une peur !

Une peur consciente ou inconsciente, rationnelle ou irrationnelle, légitime ou illégitime, là n’est pas la question !

La question est plutôt de comment la déceler et l’apprivoiser pour qu’elle ne t’empêche pas de créer les changements positifs dont tu as besoin aujourd’hui.

Pourquoi l’idée d’un changement provoque des peurs ?

En tant qu’expatrié, humanitaire ou conjoint expat, tu as bien sûr l’habitude de faire face aux changements et de devoir en créer pour t’adapter. Et pourtant, je suis sûre que malgré tout, les changements, en tous cas certains, provoquent aussi en toi des peurs !

Craindre le changement est extrêmement commun !

En effet, tout changement titille des réactions mentales, émotionnelles et physiques ! Ton cerveau déteste l’inconnu et voudrait rester dans sa zone de confort. Il envoie des signaux d’alarme, ce qui a pour effet de mettre tes émotions en émoi et ton corps en alerte !

Ce sont ces peurs qui vont te pousser à adopter l’une de ces trois réactions :

  • La fuite,
  • La paralysie
  • La contre-attaque !

Rien de bien utile et efficace pour enclencher un changement !

Pour mieux comprendre comment surmonter tes peurs, il est bon de commencer par les identifier.

Quelles sont ces peurs qui freinent le changement ?

Est-ce que tu connais les peurs les plus courantes liées au changement ?

Auprès des humanitaires, conjoints expats et expatriés en poste que j’accompagne, voici les peurs les plus souvent évoquées :

  • La peur de perdre son équilibre de vie actuel (même s’il n’est pas idéal).
  • La peur de l’inconnu, des incertitudes.
  • La peur de l’échec, de ne pas y arriver.
  • La peur du regard des autres, de ce qu’ils vont en penser.
  • La peur de son propre jugement.

Est-ce que l’une ou l’autre de ces peurs fait écho à ce que tu ressens ? Y a-t-il d’autres peurs qui impactent ton envie de changement ?

Pour mieux apprivoiser ces différentes peurs, je te propose découvrir ce qu’il se cache souvent derrière ces peurs-là !

La peur de perdre son équilibre de vie, même s’il n’est pas idéal !

Je rencontre souvent des expatriés ou humanitaires qui ne sont pas satisfaits de leur vie personnelle ou professionnelle. Et pourtant, ils craignent qu’avec un changement, ils puissent mettre en péril les aspects rassurants et positifs de leur situation actuelle. En quelque sorte, ils ont peur de tout ou trop perdre !

Des exemples :

  • Un conjoint expatrié qui envisage de se relancer sur le marché du travail, alors qu’il s’est longtemps occupé à plein temps de ses enfants. Il craint de ne plus être assez disponible pour sa famille et de perdre l’équilibre de vie qu’il a réussi à instaurer.
  • Un expatrié en emploi qui envisage une reconversion professionnelle et qui angoisse à l’idée de perdre sa sécurité financière ou son statut.
  • Un humanitaire qui souhaite retrouver une « vie normale » en rentrant au pays, mais qui se demande s’il saura s’y adapter !

Ce sont des peurs légitimes !

Pourtant, changer n’implique pas forcément de tout remettre en question et faire un revirement à 360 degrés. Changer rime souvent avec l’instauration de nouvelles petites habitudes qui te permettront de mieux t’épanouir, tout en préservant ce qui est important à tes yeux.

Et si un changement drastique est envisagé, c’est tout à fait faisable ! Aussi longtemps que tu n’espères pas le mettre en place en 24 heures ! Il s’agit plutôt ici d’amorcer un processus de changement qui prendra quelques mois. Ça ne va donc pas immédiatement et complètement chambouler ta vie. Au contraire, ce changement se mettra en place étapes par étapes, petit à petit, tout en douceur.

Avec mes clients, ce qu’il se passe le plus souvent, c’est une combinaison des deux : changer de petites habitudes pour tout de suite augmenter leur niveau de bien-être, tout en avançant, un pas après l’autre, vers un changement plus important.

Dans les deux cas, Ils vont s’assurer que ces changements leur permettent de maintenir l’équilibre souhaité et surtout d’honorer leurs principales valeurs.

« Le secret du changement consiste à concentrer son énergie pour créer du nouveau, et non pas pour se battre contre l’ancien. » Dan Millman

La peur de l’inconnu face à un changement de vie ou de carrière.

Changer c’est essayer quelque chose de nouveau, d’entrer dans l’inconnu, d’accepter les incertitudes qui y sont liées. Et ça, sans réelle garantie d’y arriver, d’avoir fait le bon choix et pris la bonne décision.

L’inconnu, c’est bien connu, ça fait peur !

Derrière ta peur de l’inconnu se cache surtout la crainte de ne pas savoir gérer ce qui t’attend !

Et pourtant, je suis sûre que tu vas savoir gérer !

Comment je le sais ?

Eh bien, si tu es là aujourd’hui, c’est parce que tu as déjà su gérer tout ce que la vie t’a réservé jusqu’ici ! La vie n’est un long fleuve tranquille pour personne, mais d’autant moins pour toi, expatrié ou humanitaire, qui a déjà fait face à une multitude de transitions, incertitudes et changements ! Donc, j’en suis certaine, tu sauras gérer ce changement, comme tu as toujours sur gérer jusqu’ici !

Face aux incertitudes liées à un changement, avant tout, tu as besoin de clarifier ce que tu veux à long-terme ! En clarifiant ta direction, tu pourras avancer malgré les inconnues, parce que tu sauras que même si tu dois faire des détours, c’est pour finalement, atteindre ton but !

Comme un voilier qui connaît son port de destination, mais qui ne sait pas ce qui l’attend pendant la navigation. Il y fera face pour arriver à bon port !

Avec un objectif clair, tu pourras entrer en action. Pour sortir de ta paralysie créée par les incertitudes, la meilleure méthode est de commencer par un tout premier petit pas ! Une première petite action qui t’emmènera dans la bonne direction ! Puis de poser un pas après l’autre pour continuer à avancer vers le changement souhaité !

« Si vous n’essayez jamais, vous ne réussirez jamais, mais si vous essayez, vous risquez de vous étonner vous-même. » Albert Einstein

Ta peur de l’échec face à une transition de carrière ou de vie

Tu as peur de te lancer par peur de te planter ! Et c’est cette peur qui engendre une autre peur, la peur d’essayer !

Je l’entends souvent : « Je ne suis pas sûr d’y arriver ! J’ai peur de faire des erreurs ! J’ai déjà échoué dans le passé, et je n’ai pas envie de me tromper à nouveau ! » !

Changer c’est prendre des risques : celui d’échouer, de se tromper. Ce sont des risques qui ne devraient pas te freiner.

Il faut savoir que l’échec fait partie du processus de changement ! En soi, ce n’est pas un problème, c’est même une bonne source d’apprentissages !

Il faut aussi bien comprendre que quand tu échoues, le problème ce n’est pas toi ! Le seul vrai responsable est ta stratégie ! C’est donc en travaillant sur ta stratégie que tu peux affronter les obstacles !

Les échecs te permettent de corriger le tir, planifier différemment et recommencer plus intelligemment.

Il est aussi très important de ne pas avoir d’attentes inconsidérées sur le changement ! Beaucoup de monde espère aller directement d’un point A à un point B, alors qu’un changement n’est jamais linéaire : tu vas inévitablement faire quelques détours et c’est normal !

Et pour finir sur la peur de l’échec, il est intéressant d’aussi réaliser que parfois derrière cette crainte se cache plutôt la peur de… réussir ! Eh oui, parce que réussir implique un changement et que changer, justement ça fait souvent très peur !

« Échouer, c’est la possibilité de pouvoir recommencer de façon plus intelligente. »
Henri Ford

Ta peur du regard des autres face aux changements que tu pourrais réaliser.

La crainte du regard des autres est une peur dont on parle rarement dans le cadre d’un changement ! Pourtant, elle est très courante, bien que souvent inconsciente !

Peut-être que comme beaucoup de monde, tu t’es enfermée dans un rôle remplit d’injonctions telles que « Il faut… », « Je dois… », « Je devrais… ». Ces injonctions sont généralement héritées de ton enfance, ta culture ou la société dans laquelle tu évolues.

Tu as bien sûr des obligations auxquelles tu ne peux pas échapper. Toutefois, il y a aussi toutes celles que tu t’imposes inconsciemment, simplement parce que tu penses que c’est ce que l’on attend de toi.

  • Si tu travailles dans l’humanitaire, tu te dis peut-être « Dans l’humanitaire, je dois accepter les postes qu’on me propose, même s’ils ne me correspondent pas toujours. » « Je dois mettre les besoins des autres en priorité, même si c’est au détriment de ma vie personnelle ! » « Mes parents, mes collègues, mes amis ne me connaissent que dans ce rôle et avec ce statut d’humanitaire, que vont-ils penser de moi si j’envisage de quitter ce secteur ? »
  • Si tu es conjoint expatrié, il peut s’agir de croyances telles que : « Je dois gagner de l’argent pour avoir de la valeur. » « En tant que conjoint à la maison, je dois penser à mes enfants d’abord. » « J’ai une vie privilégiée, je n’ai pas le droit de me plaindre. »
  • Si tu es un expatrié en emploi, il peut s’agir d’injonctions telles que « J’ai une bonne situation professionnelle qui m’apporte la sécurité financière et un statut, même si je ne suis pas pleinement épanoui, pourquoi vouloir tout chambouler ? » « Travailler à mon compte serait une folie, je ne pourrai jamais subvenir aux besoins de ma famille ! » « J’ai des diplômes et une expérience, pourquoi vouloir faire autre chose ? » « J’ai imposé mon choix d’expatriation à ma famille, je n’ai qu’à me satisfaire de mon job actuel. »

Derrière ces injonctions se cache peut-être ta peur du regard des autres. En effet, parmi les besoins fondamentaux de l’être humain, il y a le besoin d’appartenance (faire partie d’un groupe, d’une communauté). C’est alors ta peur du rejet qui te pousse à accorder tant d’importance aux jugements des autres.

À cause de ces peurs, tu préfères favoriser des comportements qui facilitent l’inclusion, plutôt que de risquer un changement qui pourrait fragiliser ton besoin d’appartenance !

C’est particulièrement fort dans l’humanitaire où quitter ce travail implique aussi de quitter sa tribu. C’est vrai aussi en tant qu’expatrié, où tu évolues dans une communauté internationale et multiculturelle que tu affectionnes peut-être tout particulièrement. En tant que conjoint expat, c’est un peu différent, c’est souvent à cause de ce statut de conjoint accompagnant, mal aimé et mal compris, que la peur du rejet ou du regard des autres s’est renforcé !

Ces peurs sont très souvent liées à ton besoin d’appartenance, mais il ne faut pas oublier que parmi les cinq besoins fondamentaux, il y a aussi celui de la réalisation de soi.

Pour atteindre ce dernier besoin, il est essentiel d’apprendre à te détacher du regard des autres, même si ton choix de changement peut provoquer des réactions négatives, parfois des incompréhensions.

Cela étant dit, il faut savoir que très souvent notre peur du jugement des autres ne se confirme pas du tout ! Les réactions face à notre changement de situation sont généralement positives et encourageantes ! C’est ce que je constate auprès des personnes que j’accompagne ! Leurs peurs d’être jugées ne se confirme pas ou rarement !

Quand la réaction est négative, ce qu’il est important de retenir, c’est que tes changements font surtout peur aux autres ! À ce titre, leurs réactions font écho à leurs propres peurs. Eh oui, eux aussi ont un cerveau qui résiste aux changements : ils préfèrent te voir rester dans ce qu’ils connaissent déjà de toi, soit parce qu’ils s’inquiètent pour toi, soit parce qu’ils ont peur que cela puisse altérer votre relation ! Parfois aussi, parce que ça fait miroir à leurs propres difficultés d’amorcer des changements !

« Être libre, c’est aussi ne pas agir en fonction du regard d’autrui. » Frédéric Lenoir

La peur de TE décevoir face à des changements difficiles.

Une autre peur qui est souvent méconnue et pourtant handicapante : c’est celle de te décevoir toi-même !

Tu crains ton propre jugement ! Tu redoutes qu’ils te conduisent dans une spirale négative d’autocritique et de culpabilité.

J’entends souvent des phrases telles que : « J’ai déjà tellement souvent essayé sans jamais aller jusqu’au bout ! Je ne supporterais pas de me décevoir une fois de plus ! » J’ai même plusieurs personnes qui m’ont dit qu’elles hésitaient à s’engager dans un processus de coaching, de peur de se retrouver, une fois de plus, face à leur incapacité à créer les changements souhaités. Heureusement, cette peur ne s’est jamais réalisée, parce que le coaching permet d’accompagner ce processus de changement et d’ainsi rebondir et continuer à avancer quels que soient les détours ou obstacles.

C’est une vraie peur que celle de se décevoir soi-même.

La clé ici, c’est d’apprendre la bienveillance et la compassion envers soi-même !

Tu penses peut-être que pour rester motivé et avancer, tu dois constamment t’auto-critiquer, te juger, être impitoyable avec toi-même ? Et pourtant, c’est tout le contraire ! Ce dont tu as besoin quand c’est difficile, c’est de bienveillance et de compassion !

Comment réagis-tu lorsque ton meilleur ami ou ton enfant se retrouve face à une difficulté ?Vas-tu en rajouter en lui répétant qu’il est nul ? Non, au contraire, tu vas mettre en valeur ce qui marche bien et l’encourager à essayer encore !

C’est exactement ce dont tu as besoin face à un changement ou une transition de vie : t’offrir de la bienveillance et de la compassion.

Devenir ton meilleur allié, ton propre meilleur ami !

Et pour le devenir, la première étape est d’apprendre à bien te connaître. C’est ce qui va t’aider à t’accepter tel que tu es, avec tes imperfections, tes doutes, tes erreurs, tes forces et tes faiblesses.

Ce n’est qu’une fois que tu t’accepteras tel que tu es, que tu pourras vraiment changer.

Pourquoi ?

Parce que tu sauras que, quoiqu’il arrive, tu seras bienveillant envers toi-même ! Même quand ce sera difficile et compliqué, tu seras capable d’être ton propre meilleur ami.

C’est une force incroyable que de devenir son propre allié : tu ne craindras plus d’avancer parce que tu n’auras plus peur de ta propre réaction face à tes propres échecs !

« Le curieux paradoxe c’est que, lorsque je m’accepte juste tel que je suis, ensuite je peux changer. » Carl Roger

Comment surmonter tes peurs face aux changements ?

En détaillant les différentes peurs auxquelles tu peux être confronté, je t’ai déjà donné quelques pistes pour les apprivoiser. Je te propose ici un petit récapitulatif qui reprend les éléments importants, avec en bonus quelques idées supplémentaires.

Quoiqu’il arrive tu sauras gérer ces changements.

Adopter ce précieux mantra : « Quoi qu’il arrive, tu sauras gérer ! ». C’est ce que je dis systématiquement aux personnes que j’accompagne.

Toi aussi, quoi qu’il arrive, tu sauras gérer !

Quand tu sens la peur monter, n’hésite pas à te répéter cette phrase !

En te reconnectant à qui tu es, tu vas forcément réaliser que tu es outillé pour créer un changement, parce qu’en tant qu’expat, conjoint accompagnant ou humanitaire, tu l’as déjà prouvé à maintes reprises !

Clarifie qui tu es aujourd’hui

Prends pleinement conscience de qui tu es aujourd’hui : tes valeurs, tes forces, tes besoins, tes passions, tes qualités, tes expériences, tes compétences.

Bien sûr, identifie aussi tes peurs, tes croyances limitantes, tes injonctions pour te permettre de les désamorcer !

Ce sont ces prises de conscience qui vont te permettre de t’accepter tel que tu es.

Cette meilleure connaissance de toi te permettra de devenir ton meilleur allié face aux changements souhaités !

C’est un élément clé pour réussir à créer des changements positifs dans ta vie d’expatrié ou d’humanitaire.

Pour calmer tes peurs, identifie les « pour quoi & pourquoi » de ce changement !

Identifie ton « pour quoi » ? Quel est ton but ? Ta destination finale ? Le changement concret que tu souhaites créer ?

Identifie aussi ton « Pourquoi » ? Pour quelle raison souhaites-tu ce changement ? Quelles sont tes motivations et tes besoins profonds ?

Ce sont ces deux « pour quoi ? » et « Pourquoi ? » qui te permettront de dépasser tes peurs, parce que tu pourras t’y reconnecter dès que ça devient un peu plus difficile. Tu pourras t’y rattacher quand tu auras des doutes, quand tu feras face à un échec.

Ils t’aident aussi à apprécier le processus de changement, qui n’est jamais totalement linéaire !

Évalue le coût de ton inaction si tu n’amorces pas de changement.

Les deux questions que tu peux te poser pour t’aider à dépasser tes peurs sont :

  • « Qu’est-ce que ça me coûte de ne pas changer ? »

et

  • « Qu’est-ce que ça me coûte de changer ? »

C’est aussi une manière de renforcer ton « Pourquoi ?», ta raison d’avancer !

En général, l’inaction coûte bien plus chère que l’action ! Et si ce n’est pas le cas, c’est probablement que le changement envisagé n’est pas le bon !

Accorde de la valeur à chaque petit pas en avant.

Ce qui fait le plus peur à ton cerveau, ce sont les grands changements drastiques ! Alors, qu’il suffit de te concentrer sur chaque petite action réalisée.

Pour calmer tes peurs, décomposes ton objectif en petits bouts.

Une amie me l’a illustré en disant : « Plutôt que de manger le saucisson tout entier en seule fois, découpons-le en petites tranches. C’est bien plus digeste ! »

La clé ici, c’est de valoriser chaque petite action vers ton objectif : c’est ce qui te permet d’apprécier le processus et de rester dans l’action.

« Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas. » Lao-Tseu

De quoi as-tu besoin pour vaincre tes peurs du changement ?

Est-ce que tu as pu identifier ces peurs qui t’empêchent de créer un changement dans ta vie d’expatriée ou d’humanitaire ?

Si oui, bravo ! Tu as quelques clés en main pour les apprivoiser de manière à ce qu’elles ne freinent pas tes envies de changement ! La prise de conscience est une première étape cruciale !

Toutefois, ce n’est parfois pas suffisant ! Si tu sens que malgré tout, ces peurs t’empêchent d’avancer, ce dont tu as besoin, c’est de les apprivoiser pour atténuer leur pouvoir sur toi, pour ne pas les laisser diriger ta vie et tes choix ! Tu peux commencer ce travail grâce aux astuces transmises dans cet article.

Et sinon, sache que dans le cadre de mes accompagnements, je t’aide justement à dépasser ces blocages pour créer les changements dont tu as besoin. Si tu penses que c’est de ce type de soutien dont tu pourrais avoir besoin, contacte-moi pour une séance découverte, afin que nous évaluions ensemble si mon programme répond à tes besoins. Pour prendre directement rendez-vous c’est par ici.

Si tu as trouvé cet article intéressant, tu peux le partager sur ton réseau préféré !